comment vont nos couples!!!!

Salut les filles,
Hier je suis sortie avec mon mari. En effet, mon mari qui travaille dans le secteur touristique devait faire visiter de nouveaux sites à ses collaborateurs étrangers pour les convaincre d'y amener leurs clients dans le cadre d'excusions organisées vers ces sites. Bref, c'était une occasion de se trouver, mon mari et moi, dans cadre différent et je vous assure que ça aide même si on n'était pas seul et que c'était une sortie plutôt travail; c'est mieux que rien!!!!
En effet, le fait de sortir un peu de la routine du quotidien peut aider les couples qui ont des pb de fertilité:
ça peut les aider à se voir autrement càd plus comme un homme et femme qui s'aiment, qu'un couple qui se bat contre l'infertilité.
ça les aide à reprendre leur souffle pour revenir plus confiants, plus forts psychologiquement et plus soudés.
çaleur permet de vivre leur vie tout simplement car lorsqu'on a un pb de fertilité on a l'impression de passer à côté de sa vie.
Bref c'est ce que je pense et je voudrais bien que vous me parliez de la façon avec laquelle vous prenez soin de votre couple.
Merci d'avance.
Gros bisou
A+

T u veux vraiment qu'on te raconte? je plaisante ! Alors mon mari et moi vivons le plus normalement du monde et on ne parle pas tous les jours de notre probleme puisqu'on a un suivi médical ( chaque chose en son temps) mais tous les 2 on ressent un immense vide mais hamdlillah on fait tout pour avoir bébé et le retse est a3la Rabi . on sort souvent et on adore inviter des amis et la famille voilà ma belle ! aussi mon mari est assez gourmand alors je le gate avec les plats qu'il aime et aprés il est content et de bonne humeur

ah !!rose des sables ,tu as touché le point le plus sensible(du moins pour moi)
on a une adorable fille mais on sent toujours un immense vide
il y'a 2 ans on a failli se separer,et depuis on n'aborde plus le probleme de l'infertilite
j'ai remarqué que quand on est dehors il se retourne toujours à la vue d'un bébé et ca me fait de la peine
pour moi c'est surtout difficile quand en est en algerie ,avec toute sa famille
l'été passé mes 2 belles soeurs ont accouché à un mois d'interval ,je ne vous cache pas que j'etais morte de jalousie quand je le voyais avec les petites dans les bras
on est pret à tout sacrifiér pour avoir un bb mais c'est la volonté de dieu
à part à on profite pour voyger
à la moindre occasion,on sort,on voyage au moins ca
in challah que notre tour viendra et un jour on aura notre bb comme tout la monde

Question que l'on se pose toutes, comment maintenir la tête hors de l'eau

Bien évidemment il est très important d'avoir une vie tout à fait normale malgré l'infertilité, ou du moins on doit essayer

Nous partons régulièrement en vacances, en week end, nous avons des activités en commun (sport, sorties, balades) mais nous avons aussi chacun notre jardin secret, il m'arrive de sortir avec mes copines, et lui d'aller voir ses copains.

Il nous arrive aussi de partir chacun de son côté quelques jours, ça nous permet de mieux nous retrouver

salut lise, je voudrais que tu saches que je comprends très bien ce que tu ressens.
En effet c'est dure à gérer même si on est couple qui s'aime.
Quand je vois mon mari jouer avec ses nièces et neveux je ne peux pas m'empêcher d'avoir un pincement au coeur.
Depuis que nous consultons pour notre pb de fertilité j'ai l'impression que toutes les femmes de mon entourage sont tombées enceinte au cours des trois années précédentes: ma soeur a eu son premier enfant (on s'est marié à un mois d'intervalle), ma cousine (1er et 2ème enfant) , ma tante ( 2ème enfant) , ma belle soeur (1er et 2ème enfant) , la soeur de mon mari ( 4ème enfant), mes collègues de travail, mes amies, .....
J'ai fait ma 1ère IAC en juin 2007, une semaine après l'échec de mon IAC j'ai appris que ma belle soeur est enceinte de son deuxième enfant. Jusqu'à maintenent lorsque je repense à cette période je ne peux pas m'empêcher de pleurer; j'étais au bord de la dépression et le pire c'est que mon mari a aussi mal vécu cette nouvelle et au lieu de se soutenir l'un l'autre, chacun de nous s'est renfermé sur lui même et un mur s'est bati entre nous pour ajouter encore plus à ma peine.
J'ai fait ma 3ème IAC en décembre 2007, et là encore une semaine après l'échec de mon IAC j'ai appris que la soeur de mon mari est enceinte de son quatrième enfant. Je dois avouer que c'était moins dure à gérer vu que j'ai touché le fond avec la grossesse de ma belle soeur.
J'ai fait ma 4ème IAC en février 2008, et avant le résultat de mon IAC ma belle soeur a donné naissance à une magnifique petite fille , et là toute la douleur que j'ai ressenti à l'annonce de sa grossesse a refait suface et 10 jours après la naissance de ce petit ange, j'ai eu mes rrrr et je me suis faite une raison, mon tour, si j'en ai un , n'est pas encore arrivé et jai ressenti une très grande injustice.

Au milieu de tout ça c'est notre couple qui paie les pots cassés car je ne sais pas comment faire la part des choses et vivre normalement comme l'a dit avecesperence. En effet depuis peu j'ai parfois l'impression qu'il y a un grand vide au sein de notre couple et j'ai de plus en plus de mal à être en famille que ce soit la mienne ou celle de mon mari: c'est dure

lise je pense à toi de tout coeur et je te souhaite le meilleur
Prends soin de ta fille c'est ton trésor le plud cher
Gros bisous

Alors pour nous notre échapatoire de ce problème d'infertilité est le travail ça prend tout notre temps surtout qu'on travaille ensemble et à notre compte
Sinon on en parle à tout moment et à chaque occasion de ce qu'on ressent à l'absence de on est conscient que ça fait un grand vide dans notre vie de couple et que ça nous prive de profiter pleinnement de la vie surtout que nous on aime tellement donner et la plupart du temps on oublie de penser à nous
on essaye des fois de remplir ce vide avec les enfants de nos frères et soeurs ce n'est pas pareil mais au moins ça nous permet de ressentir ce lien entre parent et enfant pendant quelques instants et je vous assure que ça fait du bien
C'est sûr que c'est toujours dûr à supporter l'annonce d'une grossesse ou voir des femmes enceintes mais il faut dire que heureusement que ces couples n'ont pas notre problème alors courages les filles il faut positiver pour avancer

Fafa : j'adore cette positivité mais c'est un préalable et non un aboutissement. Je veux dire pour réussir à voir la moitié pleine de la bouteille, il faut être à la base une personne optimiste

Imagine une personne du genre un peu "pessimiste" (c'est un trait de caractère comme un autre) avant l'infertilité (je connais une qui est comme ça), arrive-tu à imaginer le désastre que provoque la stérilité sur elle

Je dirais pour ma part et avec le recul que la stérilité quand elle frappe un couple, c'est comme le passage d'un cyclone ou les feux de forêts en été, ça ravage tout sur son passage .... Tout est à RECONSTRUIRE

Il faut faire un travail sur soi, sur le couple. De petits apprentissages en s'exerçant à retenir ses larmes quand c pas le moment, à garder la bonne humeur quand c possible pour que le couple ne fasse pas les frais .... .

Ca ne change rien à la stérilité certes mais ça la rend sans aucun doute plus vivable et l'air respiré par le couple moins toxique.

rabbi yeferredj inchallah, esseber dans le tawakoul c la seule chose à faire

et faire comment avec un mari qui baisse les bras et n'y croit plus
ne veut plus parler de ça

le mien me dit que ce n'est pa sla peine de ressayer ça ne marchera pas , comment faire pour l'aider et le convaincre quand on est mal , qu'on moi même j'ai besoin d'y croire et d'espérer

je parle plus de ça pour le moment le temps de se reposer de tout ça et de se calmer

mais au fond de moi , j'ai envi de ressayer aujourd'hui avant demain

pourquoi les hommes ne réfléchissent pas comme nous alors que c'est nous qui subissons le tout , le plus dur , le plus lourd

Nounou, je suis d'accord avec toi, mais je crois que parfois on a besoin de se secouer un peu, et de faire sa propre analyse, je t'assure que c'est très constructif, et je peux te dire que quand on le décide, on peut réellement aller au fond des choses.

Peut être aussi que si je réagis comme ça, c'est parceque j'ai vécu des drames dans ma vie et que je sais que la vie ne tient qu'à un fil, et que l'infertilité est moins grave qu'une longue maladie qui fait souffrir une personne. Même si l'infertilité est difficile à accepter.

Sam, ton mari a besoin d'un peu de temps pour assimiler les choses, je ne sais pas s'il est pratiquant, mais je sais que c'est très difficile pour quelqu'un de pratiquant d'accepter tous ces traitements. L'homme est sensible également mais ne l'exprime pas. Ton mari souffre de la situation, je sais que toi aussi, mais saches que la femme est beaucoup plus courageuse que l'homme.

Le mien avait mis un mur devant lui, il lui était impossible d'avancer, il ne broyait que du noir, était d'un pessimisme pas possible, j'ai tout essayé (la colère, les menaces, les pleurs, la communication, le harcèlement...) jusqu'au jour où j'ai compris qu'il avait besoin que je le rassure (dur dur quand soi même on a du mal à positiver), qu'il fallait que je lui montre que j'étais forte, que je pouvais supporter les échecs, et surtout que je lui dise que la pma n'est pas sûre à 100 %, ça lui a permis de moins appréhender, et au fond il s'est dit "puisqu'elle le voit comme ça, si ça rate, elle ne m'en voudra pas" Et c'est là qu'il a commencé à s'y investir. J'avoue que tout ça m'a pris énormément de temps et d'énergie, que souvent je pleurais dans mon coin, que je ne lui montrais pas ma souffrance pour qu'il garde la tête hors de l'eau.

Ce qui m'a aidée aussi à convaincre mon mari, c'est que j'ai fait la connaissance de filles dans le parcours pma, même age, même difficultés. Je parlais à mon mari ce mes copines, de leurs maris, de leur façon de réagir, de leur avancé dans le parcours pma. Il s'est senti moins seul et surtout il s'est rendu compte que leur mari réagissaient complètement comme le mien.

C'est un travail long et difficile, mais je suis sûre que ton mari et toi allez vous en sortir, allez trouver une solution.

fafa: je salue en toi ton optimisme et ta ténacité. En effet je suis d'accord avec toi sur tout ce que tu as dit sur le travail qu'on doit faire sur soi mais c'est plus facile à dire qu'à faire puisque quand tu es confronté à une situation qui réveille en toi un sentiment de manque, ce sont les sentiments qui prennent le dessus sur la raison. Donc ce qu'il faut c'est d'apprendre tous les jours à prendre sur soi et à gérer ces situations sans pour autant que ça termine toujours en larmes, je pense que ça s'apprend!!!!
sam: Pour ton mari je suis d'accord avec fafa je pense que tu dois lui laisser du temps pour assimiler cette situation car ça n'est pas facile pour lui d'admettre ce pb d'infertilité.
On a toutes connu ça, du moins moi j'ai connu ce pb avec mon mari; mais avec le temps, de la tendresse, de l'amour, de la compréhension,..... tu vas voir tu arriveras à convaincre ton mari
Bonne chance et bon courage
A+

salut rose des sable
la tu touche un point sensible de notre vie
c vrai je n'ai pas a me palidre , mon mari , m'aide bcp , me soutien
le jour de mon resultat negetif de ma 1 ere fiv , il m'a dit on va le refaire 2 3 4 5 6 7 8 9 100 fois s'il le faut ,et bien sure si c possible
le probleme c moi je n'arrive pas bien gerer la situation
defois de pense qu'il ne pense meme pas
c vrai il m'aide
mais deviens un dragon quand t'il me voit pleurai
c plus fort que moi
et tout nos problemes rcide du faite comme je suis hyper sensible a ce probleme , et lui pas ,ou peu etre qu'il essaye de le caher , il est trop fiere pour montre sa peinne , c'est d'ailleurs c'est ce qu'il me reproche tjrs
en fin rose cun sujet tres sensible , si j'en parle des journneés entieres je ne m'arretrai pas
sur ceu de vous dit bon courage mes soueurs raby ifarej alina jmain

Rose, je sais bien que ce n'est pas facile de faire un travail sur soi mais ce n'est pas impossible tout le monde peut le faire, il suffit d'y travailler.

Pour vous donner un exemple : j'ai une amie qui a aussi du mal à avoir un enfant (je crois d'ailleurs que j'en avais déjà parlé ici), son mari le vit très mal car lui n'est pas infertile. Cette amie a longuement déprimée, elle s'est apitoyé sur son sort au lieu de chercher des solutions. Son couple était au bord de la faillite, il n'y avait plus aucune communication entre elle et son mari.

Elle est venu chercher de l'aide auprès de moi et je lui ai donné les conseils que j'ai donné plus haut.

Je lui ai aussi dit qu'il fallait qu'elle se secoue (puisque son mari n'en était pas capable, il fallait qu'elle prenne les choses en mains). Elle m'a répondu "je veux bien me secouer mais comment faire avec un mari qui refuse tout, comment faire alors que je déprime".
J'ai dit qu'elle devait déjà prévoir une petite sortie avec son mari, un week end en amoureux, et bien elle a pris le taureau par les cornes et elle a réservé une semaine de vacances au Maroc.

A son retour, elle avait totalement changée et son mari aussi, elle a retrouvé son sourire et l'envie de se battre. La seule phrase qu'elle m'ait dit c'est "j'en ai assez de souffrir, il faut que ça change et je vais faire en sorte que ma vie change"

Je pense que c'est un bon début pour elle
Et croyez moi, plus dépressive qu'elle il n'y en a pas, donc si elle, elle y est arrivé, vous pouvez aussi y arriver

tu sais fafa , c plus fort que moi le petit pincement au coeur au moment de 'annonce d'une grossesse, mais je fais comprendre a tt le monde que ça m'inflige pas trop , c la volante de dieu, après tout c dieu seul qui décide , après le petit pincement au coeur, j'oubli vite et je me mets a me projeter dans l'avenir avec une éventuel grossesse.

une grossesse pma c la plus belle annonce que je puisse avoir, je ne vous le cache pas
pour les bebes des autre , je ne peu pas ne pas les aimer, c plus fort que que je vais vers eux les prendre de mes bras, meme 'ceux des etranger , et c depuis mon célibat

le petit garçon de ma belle soeur ,c moi la premier qui la prit dans mes bras quand ca mere est sorti de la maternite le lendemain
quand je vais nbarek pour une naissance tt de suite je prends le bebe dans mes bras

la petite fille (une vrai poupe avec des yeux bleus) de mon frere , quand je suis chez mes parents c moi qui s'en occuper sa mère et au repos dés mon arriver

peu etre meme si le bon dieu m'aurai donner des enfants j'aurai tjrs aimer ceux des autres
c pas un travail sur soit c une nature
j'aimerai bien garder le moraleet ne pas ne pas pense 24 h sur 24 sur le probleme de l'infertilité , j'aimerai bien que fafa m'aiderai

Lylas, je sais ce que tu ressens, et je peux te dire que j'étais beaucoup plus mal dans ma peau il y a encore 2 ans. Dès qu'on m'annonçait une grossesse, j'étais jalouse, je n'arrivais pas à éviter d'envier la femme enceinte, je respirais un grand coup quand je devais aller voir ma soeur à la maternité à la naissance de son fils. Je disais à mon mari "je ne vais pas y arriver, ce n'est pas possible, c'est trop dur pour moi"

Mais, une fois sur place, j'ai tout de suite pris ce petit bébé dans mes bras, j'étais aux anges, et c'est là que j'ai compris qu'au lieu de fuir la situation, je devais l'affronter.

Même si avant je faisais l'effort de fréquenter des femmes enceintes ou des nourrissons, je n'étais pas moi-même, je ne faisais que des gestes, ne disais que des mots, mon coeur n'y était pas, je repensais sans cesse à ma souffrance, à ce manque qui était en moi, à cette jalousie qui me rongeait...Et j'ai appris, à libérer mes sentiments, j'ai ouvert mon coeur et je le vis beaucoup mieux à présent.

J'ai beaucoup réfléchis, j'ai beaucoup travaillé sur moi, j'ai fait beaucoup de sophrologie, tout ça m'a aidée et c'est à la porté de tout le monde.

Avant, je n'osais pas donner des conseils à mes soeurs sur leurs enfants, j'avais peur qu'elles me disent "Oh c'est facile de me dire ça, mais tu n'as pas d'enfant".

Et un jour, j'ai entendu ça de la part de ma soeur, car elle criait sur son fils de 2 ans alors qu'on était chez des amis et les cris de son fils dérangeait tout le monde. Je lui avais dit alors de ne pas corriger son fils de cette façon en dehors de chez elle ou dans la famille. Là, elle n'a rien trouvé de mieux à me dire que "Oui ben on verra quand tu auras des enfants, moi j'en ai 2 et je suis fatiguée, alors quand tu auras élevé 2 enfants, tu pourras me donner des leçons". Ca m'a fait très mal, et j'ai eu une explication avec elle, en lui disant qu'elle n'aurait pas du me dire ça, que si je n'avais pas d'enfant ce n'était pas par choix. Ensuite, elle s'est excusée et me confie souvent ses enfants en vacances.

La confiance qu'elle me témoigne m'a aussi aidée à prendre de l'assurance, et je ne me prive plus pour donner des leçons à mes soeurs ou belles soeurs
J'estime qu'on n'a pas besoin d'avoir des enfants pour se sentir mère, et c'est mon cas, je suis Maman mais sans enfant, mais je sais qu'il y en a un quelque part qui m'attend

Donc, en ce qui te concerne, je peux te dire que tu es sur le bon chemin, le fait que tu t'occupes de ta nièce et de ton neveu, va t'aider, tu le ressens pour l'instant comme une souffrance, mais tu en tires forcément du bénéfice, inconsciemment tu ne le sais peut être pas, mais ces deux petits choux sont ton issue de secours vers le bonheur et surtout la paix

salut les filles
je suis très contente que ce sujet vous ai autant intéressé car c'est un sujet très important pour moi. En effet j'ai l'impresion qu'au milieu de notre parcours de PMA, on oublie le plus important pour nous c'est à dire la stabilité et le bonheur de notre couple.
C'est vrai qu'on ne peut pas s'empêcher d'avoir un pincement au coeur à l'annonce d'une grossesse ou lorsqu'on rencontre un bb, mais c'est vrai aussi que ça ne doit être que passager et ne durer que quelques instants.
Ma soeur et moi on s'est marié à un mois d'intervalle, elle a vite eu un garçon adorable mais lorsqu'elle était à la maternité je n'ai pas pu aller la voir c'était trop dur vu que c'était trop tôt; ça ne faisait que quelques semaines qu'on avait appris pour notre pb de fertilité. Ce soir là c'est la 1ère fois que je vois mon mari aussi malheureux; il avait les larmes aux yeux (rien que d'y penser maintenant je ne peux m'empêcher de pleurer).
La 1ère année après la naissance de mon neveu était très dure vu que c'était le 1er bb de la famille tout le monde était aux petits soins pour lui (moi y compris). Ensuite petit à petit je me suis habituée, mais maintenant ce que je ne supporte pas c'est de voir ma soeur avec son fils, de le voir l'embrasser et l'enlacer me fait beaucoup de mal.
cet été ma soeur a prévu la ciconcision de son fils et je ne peux pas m'empêcher d'avoir mal. Ce n'est pas que je ne suis pas contente pour ma soeur; au contraire j'adore ma soeur et son fils est un vrai amour, mais ça ne m'empêche pas de me sentir malheureuse en pensant à ce que je pourrais ne jamais connaitre.

fafa je ne sais pas si je suis sur le bon chemin, en tout cas ça me procure un petit moment de bonheur
touts ce que je sais c'est que je ne pau pas m'empecher de les aimer
rose inchallah viendra le jours ou on sera de vrai mamans ainsi qu'a toi fafa que j'estime bcp,
continions a nous soutenir c le plus important dans des situation pareils

Lylas, je suis contente de voir qu'après analyse, tu te rends compte de la chance que tu as d'avoir des enfants autour de toi et qu'ils t'apportent beaucoup de bonheur

Rose, je me suis mariée en avril 2002, ma soeur plus jeune que moi s'est mariée en juin 2002 et elle a aujourd'hui un garçon de 2 ans. Mon autre soeur plus jeune aussi, s'est mariée en avril 2003 et a aujourd'hui 2 enfants. Résultat : je me suis mariée la première mais c'est moi qui galère pour avoir un enfant. Le pire, c'est que quand avec ma deuxième soeur on est tombée enceinte au même moment. Moi je n'ai pas pu garder le bébé, et quand je suis allée la voir à la maternité, je n'ai pas pu m'empêcher de penser que moi aussi j'aurais du accoucher ce même mois d'aout

Je sais à quel point tu dois aimer ta soeur, et ce que tu ressens est normal, tu as encore un peu de chemin à faire pour accepter la situation (enfin, disons mieux la vivre).
Et ne pense jamais à ce que tu n'auras peut être pas, pense à tout ce que tu as déjà

merci fafa , je sais qu'un jour je serai capable de gérer et de mieux vivre tout ça . C'est vrai que ça n'est facile pour personne.

Vous savez quand je me suis marriée ma grande soeur avait 8 ans de marriage et n'a pas réussi à avoir des enfants je la voyais souffrire des remarques des gens elle était timide et très sensibles et elle n'en parlait à personne de son problème d'infertilté elle évitait toujours le sujet et quand j'ai sû pour notre problème j'ai tout de suite en parler avec elle et c'est là que j'ai découvert qu'on avait le même problème (les zozos de nos maris) on a pu partager beaucoup de souffrance et de peine et maintenant on arrive à discuter normalement de nos parcours qui sont presque identique moi 7 fiv et elle 6 et de tous ce qu'on subi des remarques blessantes des gens, on avait trop peur pour notre soeur qui s'est marriée il y a presque 2 ans qu'elle aura aussi un problème pour l'instant elle n'a pas encore consulté et toute la famille commence à s'inquiéter alors pour moi je suis sûre d'une chose que si une de mes soeurs tombe enceinte ça me ferais autant plaisir que s'il s'agit de ma grossesse

fafaj´admire ta logique ,rien a dire,je pense que c un passage obligé quand on a ce probleme ,je suis passer par des moment ou les nuages etaient gris,avec le temp j´ai changer mon attitude,ou je suis rentrer dans le jeu de mon mari,j´an avais mare de vivre mal tout le temp,j´ai decide de profiter des choses que j´avais,petit a petit lui est rentrer dans mon jeu et hamdoulilah 3la ni3matih apres 8ans de souffrance .
ne baisser pas les bras seulement choisissez la bonne methode et dieu vous aidera et un bo+++++++++++++++++++ au bout

tu sais shams lorsque tu as parlé de ta soeur c'est comme si tu parlais de moi. En effet je ne parle presque jamais de notre pb, je suis assez timide et trop sensible.
Lorsque j'ai parlé de ma soeur et de son fils je me suis peut être mal exprimée mais la vérité c'est que je suis très heureuse et même soulagée qu'elle ait eu son fils. En effet je ne souhaite pas à mon pire ennemi de vivre le lourd parcours de la PMA. En plus, connaissant le caractère de ma soeur et de son mari je suis sûre que ce pb de fertilité aurait trop pasé sur leur vie et que ça se serait terminé avec des pb.
Bref à chaque fois que l'on se trouve en famille chez mes parents et que je vois son petit ange, je ne peux pas m'empêcher de ressentir un pincement au coeur et tout de suite après un sentiment de gratitude envers Dieu qui a épargné à ma soeur de vivre le calvaire d'un parcours de PMA.
ps: j'ai reçu ton MP
Gros bisou
A+

salut les filles
je crois que dans tout ça ; le plus beau cadeau que dieu apu me donner , c'est mon mari , cvrai il a son caractaire , mais pour notre probleme d'infertilté , qu'il etait lui epargner pendant 3 ans de glère du moment que touts ses analyses etait bon , il m'a bcp soutenu , il me fait croire , que notre vie est belle merveilleuse sans enfants, et ça caque fois ou il me voi entrain de pleurer , apres mon hystero quia donnert une salpingite bil apres ma coeli qui a donné une endome de stade 4 , le medecin luia dit que je suis condanner, mais avec ça il ne m'a rien dit apres ma coelio ,, c apres 15 j our qu'il m'a donner le report de la coelio , que j'ai emmemner chez mon gygy , qui lui m'a confirmer ma sterilite

Merci Sabra

En tout cas, je vois que toutes, vous avez un peu changé votre façon de voir l'infertilité et ce problème. j'ai l'impression qu'au début de ce post, vos messages étaient plein de souffrance, aujourd'hui, je vois qu'il y a un espoir et qu'ils sont plein de positivité

Bravo les filles, d'avoir analysé votre propre situation et de vous rendre compte, que malgré l'infertilé, vous avez des maris adorables et que votre couple est solide

Je vous souhaite beaucoup de bonheur pour l'avenir, avec enfant ce serait mieux, mais si cela doit être sans, on devra faire avec et trouver une autre source de bonheur

Tu as raison fafa
Lorsque j'ai commencé ce post j'étais pleine de tristesse et d'amertume, mais j'ai l'impression que ça va mieux.
ça n'est pas comme si je ne savais tout ce qui a été dit mais peut être que j'avais besoin de l'entendre de quelqu'un d'autre.
Merci à toutes celles qui ont participé au débat et j'éspère que ça va continuer car c'est un sujet (nos couples) cruciale pour nous qui vivons un pb de fertilité
Je vous embrasse toutes